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A propos

Penser l’espace, habiter le monde​

"Architecte, mon métier est de donner forme au quotidien, de créer des espaces où chacun trouve sa place. La créativité et l’écoute sont mes moteurs.Chaque projet est une nouvelle aventure, un défi à la fois technique et humain."

”Une rencontre, un nom, un rêve​"

C’est en sixième que j’ai découvert le mot architecte. À travers l’histoire d’une camarade de classe et de sa mère, une architecte dont le nom portait une allure fascinante.

À l’époque, je ne mesurais pas encore l’étendue de ce métier, mais il y avait en lui une forme de grandeur, de mystère, une beauté qui m’a marqué et qui ne m’a jamais quitté.

Ce mot est venu rencontrer ma passion du dessin, mon goût pour les bâtiments anciens, puis plus contemporain et surtout les professeurs qui ont su me faire aimer les arts et le verbe.​

 

Plus tard, en débutant mes études, c’est un autre architecte, Patrice R, le père d'une amie qui m'est toujours très proche qui, bien qu’essayant de me dissuader, a renforcé en moi cette passion, me poussant à me confronter à la réalité du métier avec encore plus d’envie et de détermination.”​​ Grâce à eux, j’ai relié ces intuitions d’enfant à une voie professionnelle, et j’ai fini par forcer le destin.

 

Un parcours hors des sentiers battus

Mon chemin n’a rien eu de linéaire. L’école et moi, on s’est longtemps tourné autour sans se comprendre. Mais j’ai appris la patience, la rigueur, et surtout : que rien n’est figé.J’ai raté, recommencé, persévéré. J’ai aussi appris un métier en menuiserie, une passion que je garde encore pour les matières et les détails.

 

J’aime cette substance vivante qui alimente ma créativité et ma réflexion. Elle se façonne à travers les matériaux, les règles, les lieux et les usages, évoluant sans cesse.

Ce qui m’enthousiasme, c’est qu’aucun projet n’est identique à un autre.

 

Une manière d’écouter

 

Je parle parfois beaucoup, mais j’écoute plus encore. Ce qui me touche, dans chaque projet, c’est ce que les gens ne disent pas toujours avec des mots — les silences, les gestes, sont aussi un langage.

 

Mon travail commence toujours par cela : comprendre le programme, bien sûr, mais surtout l’humain. Pour un appartement, un commerce, un lieu public, je cherche à créer un espace qui fait du bien. Pas seulement beau : juste. À sa place. Pour ceux qui vont y vivre, y passer, ou y travailler.

 

Même dans les programmes plus larges, j’essaie d’imaginer l’architecture comme une scène du quotidien. Les déplacements, les cadrages, les matières, les lumières : tout cela doit participer d’un équilibre. Comme une chorégraphie.

Des projets qui marquent

Il y a des projets qui laissent une trace.L’un d’eux, c’est le centre administratif à Berre, réalisé pour un confrère : j’y ai eu carte blanche pour penser une rénovation contemporaine à trois échelles— l’usager, le travailleur, le passant.

 

​Un autre, plus personnel, c’est l’aménagement d’un appartement à Marseille. Des clients passionnés, atypiques, un dialogue précis et complice.J’ai dû trouver une forme de discrétion luxueuse, où chaque détail compte, sans ostentation.

 

Aujourd’hui

 

Ce qui m’anime ?

Mettre à profit mes compétences techniques et mon expérience pour des projets sensibles, sur-mesure, où l’humain et le lieu comptent.J’aimerais explorer davantage des architectures plus contemporaines, sans jamais trahir le site ni ceux qui l’habitent.

 

 

Créer du possible. Dessiner du réel. Écouter les usages. Et proposer, toujours, un supplément d’âme.

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